La dépression d’un sportif n’est pas une cause directe du surentraînement, mais plutôt un effet collatéral à ce dernier. Un sportif atteint de surentraînement verra ses compétences diminuer, si il persiste à s’entraîner, son cas empirera, ses performances seront de moins en moins bonnes, il augmentera donc sa fréquence d’entraînement, pensant les améliorer, mais cela ne fera que les empirer et alimenter le surentraînement.
C’est à ce moment que la dépression commence, le sportif ne comprend pas pourquoi il n’arrive pas à améliorer ses performances et rentre dans une spirale autodestructive qui va le pousser à s’entraîner encore plus et donc avoir un syndroôme de surentraînement encore plus chronique qui va durcir sa dépression et, au final, miner son moral et engendrer l’isolement du sportif.